Faut-il interpréter l’Upright motive n°1 ou Croix de Glenkiln (1956) du sculpteur anglais Henry Moore comme une œuvre profane ou religieuse ? À partir d’une analyse de cette sculpture et de l’interprétation que Moore lui-même en propose, Martine Grenier propose une réflexion plus générale sur la portée religieuse de l’art contemporain.
Must we interpret Upright Motive n°1 (1956), also called Glenkiln Cross, as a profane or religious work ? Starting her research with an interpretation of this sculpture based on Moore’s own understanding, Martine Grenier proposes a general discussion about the religious import of contemporary art.
p. 25-48
Auteur
GRENIER Martine
Martine GRENIER est historienne de l’art et membre de l’Équipe de Recherche sur Programme « Théologie et éthique des images », Institut Protestant de Théologie, Paris.