L’idée de progrès dans l’Église ancienne jusqu’à l’âge constantinien

On débat depuis longtemps pour savoir si l’Église ancienne avait ou non une conception du progrès de l’histoire. Or les sources patristiques n’ont jamais fait l’objet d’une étude sérieuse. En les analysant, Wolfram Kinzig montre non seulement que l’Église se faisait une idée particulière du progrès, mais que, de plus, la notion de progrès est capitale si l’on veut comprendre de manière satisfaisante l’histoire de l’Église au cours des trois premiers siècles.

p. 43-60

Auteur

KINZIG Wolfram
Wolfram KINZIG, président de la vieille église de la Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität et professeur d'histoire de l'église à la faculté de théologie protestante de la Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität, Bonn.