Le texte où Zipporah (Séphora) circoncit son fils — ou son mari — s’éclaire ici par une référence au récit de Jacob au Jabboq et par une allusion à la nuit pascale. Thomas Römer montre que l’étrangère contribue ainsi à sa propre intégration, mais il souligne également combien la théologie du texte résiste à une lecture réductrice.
p. 1-12
Auteur
RÖMER Thomas
Thomas RÖMER est professeur d’Ancien Testament à la Faculté de théologie de l’Université de Lausanne.